«C’est comme si, par sa voix et par sa présence, la soprano Monique Pagé avait ouvert une fenêtre sur un monde meilleur.»
(Richard Boisvert, Le Soleil)
Richard Boisvert
Le SoleilLa voix céleste! Le paradis évoqué par Gustav Mahler dans sa Symphonie no. 4, tout un auditoire de privilégiés mortels en a connu l’avant-goût hier soir. C’est comme si, par sa voix et par sa présence, la soprano Monique Pagé avait ouvert une fenêtre sur un monde meilleur (…) l’orchestre et la soliste nous (ont) menés loin et haut dans le céleste univers mahlérien.
Claude Gingras
La Presse…Techniquement très solide, fraîcheur et jeunesse du timbre, justesse de l’intonation, projection très sûre. …intelligence du texte, sensibilité, respect du style : Monique Pagé donne un immense plaisir à l’écouter, à l’observer aussi.
Gérard Condé
Le Monde…l’intérêt principal de ce triptyque restera la redécouverte de L’Appel de la Mer, d’Henri Rimbaud…Monique Pagé est la plus convaincante.
Dan Wolfe
The Shelbourne NewsPagé portrayed Marguerite with subtle, yet fearless intensity. She met the vocal challenges with consummate ease, and paced her performance brilliantly.
Richard Boisvert
Le SoleilC’est pure délectation que d’entendre madame Pagé, dont la tranquille assurance fait paraître cette musique aussi facile qu’Au Clair de la Lune. La légèreté de la voix est admirable ; sa détente est absolument étonnante. Dans l’Alléluia final, malgré la grande rapidité du mouvement, pas une vocalise ne déboule. (Exsultate Jubilate de Mozart – Orchestre Symphonique de Québec)
Ottawa Morning
CBCMonique Pagé who sang Mimi, brought much more emotion to her role. Obviously, since she is slowly dying through the opera, she must convey her frailty, faltering strength and she does it beautifully. But even with that, every time she even pretended to whisper, we heard every note … the beautiful bell like tones resonated throughout Southam Hall, and more than that, Pagé has a voice that expresses great levels of dramatic nuance.
Arthur Kaptainis
The Gazette…another triumph in the love duet from Massenet’s Manon, along with the vocally and dramatically radiant Monique Pagé, who had no freestanding solo but still emerged – in quartets from Beethoven’s Fidelio and Puccini’s La Bohème– as the soprano star of the show .
François Tousignant
Le DevoirMonique Pagé est souveraine de classe et le timbre si beau se projette bien et de manière crédible.
Carl Urquhart
Opera CanadaPagé’s upper register is flexible and crystal-clear, ideal for the role (Marguerite).
The Leader Post
Regina, CanadaThis production (Le Nozze di Figaro) benefits tremendously from the chemistry between Taras Kulish (…) and Monique Pagé, whose portrayal of Figaro’s beloved Susanna is brimming with warmth and charm. (...) The performers bring to this piece a youthful vitality which generates unsubsiding energy throughout the four acts, in a way that reaches out into the auditorium and makes their enthusiasm contagious.
Marc Samson
Le Soleil…Monique Pagé a mis le riche et crémeux médium de sa voix, son superbe legato et sa fine intelligence musicale à profit dans ces airs familiers… » (Récital harpe et voix, airs italiens)
Claude Gingras
La PresseLa Marguerite de Monique Pagé domine le spectacle. La voix est belle et généreuse. Les mouvements et les expressions sont toujours naturels et convaincants, jusqu’aux derniers moments de folie furieuse. …C’est une prestation de grande envergure que Monique Pagé apporte au rôle de la douce Marguerite, tant au plan dramatique que vocal.
Andrew Thompson
Winnipeg Free PressMonique Pagé’s response in Mi chiamano Mimi was a perfect example of why her portrayal of this consumptive seamstress worked : it was gentle, simple, and beautifully lyrical.
Pat Donnelly
The GazetteThe charismatic Pagé makes a powerful impression that goes beyond the strenght of her melodious voice. Wearing a bikini with fish-net-body-stocking costume for the masked ball, she challenges the fact that opera singers could never make it as chorus girl! (La Vie Parisienne)
Roland Héroux
Le NouvellisteNe chante pas Mozart et Bellini qui veut. Le timbre est frais, cristallin, le registre généreux. …une artiste à qui la scène va bien, qui sait déjà jouer avec goût et finesse, et charmer. Le « Qui la voce » de I Puritani de Bellini, témoigne de beaux aigus, limpides, aisés, bien en place.
Inner Ear Report Magazine
Audio has shocked me. This is an astounding, beautiful, world class recording. The music is profoundly moving and all the performances are assured and inspired. (…) Monique Pagé has an effortlessly powerful, sweet and lyrical soprano voice that arcs above the sky in the opening moments of the oratorio. (Les Sept Paroles du Christ, Recording on Fidelio Label)